En voie de disparition, la baleine noire de l’Atlantique Nord fait l’objet d’une surveillance particulière et de mesures de protection spéciales. Depuis 2017, l’espèce vit un «évènement de mortalité exceptionnel». Au 1er janvier 2021, on dénombrait ainsi 32 carcasses et 12 blessures ou empêtrements sérieux sur les 4 dernières années. La sauvegarde de la baleine noire de l’Atlantique Nord est un enjeu écologique, patrimonial et culturel. Elle représente un véritable défi de cohabitation entre baleines et activités humaines.

En 2020, aucune carcasse n’a été retrouvée de ce côté de la frontière. Le long des côtes étatsuniennes, on a dénombré cette année-là 2 décès, soit deux veaux victimes de collisions. Trois empêtrements sévères chez des individus adultes et une collision potentiellement fatale sur un veau ont également été rapportés.

Toujours en 2020, les scientifiques ont révisé les estimations de la population totale de l’espèce. Au lieu de 400 baleines noires, il n’en resterait finalement que 356 ! L’espèce est d’ailleurs passée au statut de «danger critique d’extinction» sur la liste rouge de l’Union internationale de conservation de la nature (UICN), le dernier seuil avant l’extinction.

Continuez à suivre l’actualité 2021 de la baleine noire de l’Atlantique Nord ici.

Baleines noires de l'Atlantique Nord: le contexte

Avec une population estimée, au début de l’année 2020, à moins de 400 individus – puis revue à la baisse avec des estimations à 356 individus – les baleines noires de l’Atlantique Nord, aussi appelées baleines franches de l’Atlantique Nord ou baleines de Biscaye, sont en situation critique. Alors que les espèces australes de baleines noires possèdent des populations en croissance, la baleine noire de l’Atlantique Nord, elle, est en voie de disparition. Il ne resterait qu’une centaine de femelles en âge de se reproduire dans la population, et les naissances sont rares, tandis que la mortalité attribuable à l’activité humaine reste élevée. En seulement 3 ans, 31 carcasses de baleines franches ont été repérées au large des côtes canadiennes et étasuniennes.

Après avoir été chassée intensivement pendant des siècles, cette «baleine urbaine» fait désormais face à d’autres difficultés, principalement les collisions avec des navires et les empêtrements dans des cordages de pêche. Il faut dire que son aire de répartition est très impactée par la présence humaine. La baleine noire de l’Atlantique Nord passe généralement l’hiver au large de la Floride et de la Géorgie, où elle met bas, puis migre vers le nord au printemps, en direction de la baie de Fundy, de Cape Cod et du golfe du Maine, pour se nourrir dans les eaux froides et riches en proies. En savoir plus sur la baleine noire de l’Atlantique Nord.

Depuis 2017, probablement à cause du réchauffement des eaux côtières, la baie de Fundy semble moins fréquentée par cette espèce, alors qu’en parallèle, des baleines noires sont observées beaucoup plus fréquemment dans le golfe du Saint-Laurent. Cette année-là, 18 carcasses sont retrouvées près des côtes canadienne et étatsunienne, dont 12 dans le Saint-Laurent. Un évènement de mortalité catastrophique pour l’espèce qui entraine la mise en place de mesures d’urgences dans le courant de l’été. Retrouvez ici le déroulement des évènements de l’année 2017.

En 2018, peut-être grâce à l’application de mesures importantes dans le golfe du Saint-Laurent (zone de réduction de la vitesse des bateaux, aménagement de la pêche au crabe), aucune carcasse de baleine noire n’est retrouvée côté canadien, et seulement trois côté étatsunien. Le suivi  2018 est ici.

En 2019, pourtant, malgré la continuité des mesures de protection, ce sont 10 carcasses qui sont retrouvées au Canada et aux États-Unis, portant la mortalité à 31 individus en seulement 3 ans. Les nécropsies réalisées ne permettent pas toujours d’identifier la cause du décès, mais pointent vers des collisions avec des navires et des empêtrements. Revivez le déroulement de l’année 2019 ici.

Face au défi que représente la coexistence des baleines noires de l’Atlantique Nord avec les activités humaines, l’industrie maritime et l’industrie de la pêche se sont mobilisées pour chercher des solutions pour 2020.

Ressources et références

Fiche pratique sur la baleine noire de l’Atlantique nord: Baleines en direct

Catalogue de photo-identification des baleines noires de l’Atlantique Nord: New England Aquarium

Carte interactive des observations de baleines noires en eaux canadiennes: WhaleMap et Attentif aux baleines

Carte interactive des observations de baleines noires en eaux étatsuniennes: NOAA

Activités de suivi et de surveillance des baleines noires au Canada: Pêches et Océans Canada

Suivi des mesures de ralentissement en prévention des collisions: Transports Canada

Suivi des fermetures de zones de pêche: Pêches et Océans Canada

Mesures de gestion des pêches 2020: Pêches et Océans Canada

Rapport sur la mortalité 2019: North Atlantic Right Whale – 2019 Mortality events report

Podcast CBC en 6 épisodes sur la problématique des baleines noires (2017, en anglais): Deep Trouble

Suivi des évènements pour 2020

Le 8 janvier 2020, un quatrième veau de baleine noire de l’Atlantique Nord est repéré au large de la Floride, aux États-Unis. Une bonne surprise après des années maigres en terme de naissances (3 naissances en 2017, zéro en 2018 et 7 en 2019). Il s’agit du veau de la femelle #2360, surnommée Derecha.

Malheureusement, le tout jeune baleineau est dans un piètre état. D’immenses cicatrices traversent sa tête jusqu’à la mâchoire, probable signe d’une collision avec une hélice de moteur de bateau. Les pronostics ne sont pas optimistes: la blessure endommage la bouche et pourrait empêcher le veau de se nourrir.

Le veau fait l’objet d’une intervention poussée et notamment d’un injection d’antibiotiques pour lui venir en aide, mais le couple mère-veau n’a pas été revu depuis janvier.

Dossier de suivi de cas – NOAA Fisheries (en anglais)

Ralentissement à dix nœuds dans certains secteurs, fermeture de zones de pêche, surveillance accrue : le gouvernement du Canada a annoncé ses mesures de réduction des risques d’empêtrement et de collisions pour les baleines noires de l’Atlantique Nord. Lire la suite

On savait la population des baleines noires de l’Atlantique Nord en difficulté, mais une étude publiée début 2020 vient encore souligner leur grande fragilité. Des chercheurs ont en effet comparé la condition corporelle des baleines noires de l’Atlantique Nord avec celle de leurs cousines de l’hémisphère Sud. Le résultat est sans appel : « la condition physique de la baleine noire de l’Atlantique Nord est nettement moins bonne que celle des trois populations de baleines franches du Sud [étudiées] », souligne Fredrik Christiansen de Aarhus University, au Danemark, et auteur principal de l’étude.

Pour arriver à cette conclusion, il a fallu la collaboration de 12 instituts de recherche, dans 5 pays différents. Cette équipe internationale s’est attelée à mesurer la longueur et le tour de taille de baleines noires grâce à la photographie aérienne et à la technique dite de photogrammétrie. Trois des populations étudiées – des baleines franches australes d’Argentine, d’Australie et de Nouvelle-Zélande – sont des populations en croissance, tandis que la population de baleines noires de l’Atlantique Nord (Eubalaena glacialis) est, elle, en déclin.

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Elles sont de retour dans le golfe du Saint-Laurent après un hiver dans les eaux côtières de la Floride et de la Géorgie! Les deux premières baleines noires de l’Atlantique Nord de la saison ont été repérées à l’est de la baie des Chaleurs, le 3 mai, lors d’un relevé aérien réalisé par le gouvernement du Canada.

Cette observation a immédiatement entrainé la mise en place des nouvelles mesures de protection dynamiques prévues par Pêches et Océans Canada. Ainsi, une zone de 2000 km² a rapidement été fermée à la pêche commerciale pour une quinzaine de jours, afin de limiter les risques d’empêtrements. Si les observations de baleines perdurent dans la même zone, celle-ci restera fermée pour le reste de la saison.

Dès le 28 avril, et avant même l’arrivée des deux cétacés, un corridor de ralentissement avait été mis en place pour diminuer les risques de collision.

Suite à l’observation aérienne de deux baleines noires dans une nouvelle zone du golfe du Saint-Laurent – les images n’ont pu permettre de déterminer s’il s’agissait des mêmes baleines que la semaine précédente – Pêches et Océans Canada a annoncé la fermeture d’une vingtaine de quadrilatères de pêche supplémentaires.

Dès le 16 mai, ce sont environ 4000 kilomètres carrés, situés entre la Gaspésie et les îles de la Madeleine, qui doivent être libérés de tout engin de pêche sans surveillance. Il s’agit essentiellement ici de casiers de crabes. Cette fermeture est en principe maintenue pour une durée de 15 jours.

De nouvelles observations de baleines noires dans le golfe du Saint-Laurent ont pour conséquences de nouvelles annonces de fermetures. Mais cette fois, certaines zones de pêche resteront fermées pour l’ensemble de la saison, soit jusqu’au 15 novembre.

En effet, deux baleines noires de l’Atlantique Nord ont été repérées le 17 mai entre la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine, tandis qu’un individu isolé était aperçu la veille au sud de l’ile d’Anticosti.

En réponse à la présence de ces baleines en voie de disparition, le nouveau protocole de fermeture dynamique prévoit ainsi la fermeture de nouvelles zones de pêche dès le 21 mai.

Les nouvelles zones impactées sont fermées pour une quinzaine de jours. Cependant, huit quadrilatères de pêche, dans lesquelles des baleines avaient déjà été observées ces dernières semaines, vont subir une fermeture permanente jusqu’à la fin de la saison. L’objectif est de protéger particulièrement les zones très fréquentées par les baleines.

Depuis le début de l’année 2020, l’actualité concernant les mesures de protection spécifiques aux baleines noires de l’Atlantique Nord joue les montagnes russes, entre espoirs, réussites, déceptions et difficultés.

Côté☺, pas de carcasse repérée à date côté canadien, et de nombreuses zones de pêches fermées. Un appel d’offre de l’Agence spatiale canadienne pour suivre les baleines noires par satellite et un fonds de recherche pour comprendre et lutter contre les empêtrements aux États-Unis.

Côté ☹, des pêcheurs sous pression à cause des fermetures de zones, des limites de vitesse volontaires peu ou pas respectées dans le détroit de Cabot, et une réserve marine au large du New Jersey, utilisé comme couloir de migration, rouvert à la pêche commerciale.

En ce mois de juin, Baleines en direct fait le point sur les bonnes et les moins bonnes nouvelles.

 

 

Une carcasse de baleine noire de l’Atlantique Nord a été repéré le jeudi 25 juin au large d’Elberon, dans les eaux du New Jersey. Il s’agit de la première carcasse de la saison pour cette espèce en danger, coté étasuniens. Côté Canada, aucune carcasse n’a pour le moment été signalée.

Les équipes locales ont pu récupérer la carcasse pour une nécropsie. La carcasse est identifiée comme étant celle d’un jeune veau mâle, né cet hiver de la baleine #3560.

Les études préliminaires montrent un grand nombre de blessures sur la tête et le corps de la baleine, qui correspondraient à une collision avec un navire. Âgée seulement de sept mois, la jeune baleine noire de l’Atlantique Nord  a vraisemblablement été tuée par une collision avec un navire. Pire: l’examen de la carcasse a révélé deux accidents, à quelques semaines d’intervalle. Lire plus

 

La liste rouge de l’Union internationale de conservation de la nature (UICN) a été mise à jour, et le statut de la baleine noire de l’Atlantique Nord — aussi appelée baleine franche de l’Atlantique Nord — a été révisé.

Jusqu’ici, l’espèce entrait dans la catégorie «en danger» ; elle est désormais classée «en danger critique». Il s’agit du niveau d’urgence le plus important sur la liste rouge de l’UICN, et la dernière étape avant l’extinction totale.

Sur 120 372 espèces examinées par l’UICN, seules 6811 rentrent dans la catégorie «danger critique». Si la baleine noire de l’Atlantique Nord entre cette année dans cette catégorie, c’est notamment à cause de sa très faible population — moins de 400 individus, dont probablement moins d’une centaine de femelles reproductrices — et des mortalités importantes recensées ces dernières années. C’est aussi à cause des graves menaces qu’elle rencontre : collision avec des navires, empêtrement dans des lignes de pêche et impact des changements climatiques sur ses zones d’alimentation. Aujourd’hui, les 400 dernières baleines noires de l’Atlantique Nord semblent sur la mauvaise pente.

«Les déclins spectaculaires d’espèces telles que la baleine noire de l’Atlantique Nord figurant dans la présente mise à jour de la Liste rouge de l’UICN soulignent la gravité de la crise de l’extinction [actuelle]», a souligné Jane Smart, Directrice mondiale du Groupe de conservation de la biodiversité de l’UICN dans le communiqué de presse. Les autres alertes émises par l’organisme concernent notamment les primates d’Afrique, les lémuriens de Madagascar ainsi que le hamster d’Europe.

Au moins deux baleines noires de l’Atlantique Nord ont été observées fin septembre et début octobre dans l’estuaire du Saint-Laurent. C’est une visite rare : l’espèce n’avait pas été observée si bas dans le Saint-Laurent depuis 2016.

L’une des baleines a pu être observée, photographiée et identifiée comme la femelle baptisée Wolf (#1703) au catalogue de l’espèce tenu par le New England Aquarium. Cette femelle adulte de 33 ans est restée environ 11 jours dans la zone avant de disparaitre, probablement en direction du golfe. La première observation confirmée de Wolf dans le parc marin du Saguenay-Saint-Laurent date du 25 septembre, la dernière du 5 octobre.

La présence d’au moins une deuxième baleine noire non identifiée a été confirmée durant cette période dans le même secteur.

Photo: Renaud Pintiaux

Cette présence exceptionnelle a entrainé une réponse exceptionnelle de la part du Réseau québécois d’urgences pour les mammifères marins et des différents acteurs et utilisateurs du parc marin du Saguenay-Saint-Laurent. Tout a été mis en œuvre pour que ces étonnantes visiteuses passent un séjour le plus sécuritaire possible.

Mi-octobre, une équipe de surveillance aérienne a été chargée de retrouver une baleine noire de l’Atlantique Nord empêtrée, repérée par un bateau de croisière au large de Sea Bright, New Jersey. Malheureusement, le survol a permis de localiser une deuxième baleine noire empêtrée, au large de Nantucket, New Jersey.

Le premier individu, repéré le 13 octobre, a été identifié comme la baleine #4680, un jeune mâle de 4 ans, fils de la femelle « Dragon ». Il avait été vu pour la dernière fois le 7 juillet, dans le golfe du Saint-Laurent ; il nageait alors librement. Cette fois-ci, il apparaissait en très mauvaise condition physique, blessé et sérieusement empêtré. « La baleine a deux cordages partiellement encastrés autour de sa tête, et probablement un enchevêtrement plus complexe peu visible », précise l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA). Le mauvais temps n’a pas permis d’envoyer immédiatement une équipe de sauvetage. Et malgré les recherches, la baleine n’a pas pu être retrouvée. Les pronostics de survie sont mauvais.

C’est à l’occasion des recherches pour retrouver #4680 qu’une deuxième baleine noire empêtrée est repérée lors d’un survol au large de Nantucket, le 19 octobre. L’équipe identifie cette fois #3920, un mâle de 11 ans aussi connu sous le nom de « Cottontail ». L’empêtrement est important : « Il y a un cordage au-dessus de sa tête, sortant des deux côtés de sa bouche, qui s’étend au-delà de sa queue sur environ trois ou quatre longueurs de corps, détaille la NOAA. Le centre pour les études côtières (CCS) a retiré certains équipements de la baleine et a ajouté une bouée satellite pour le suivi. » La baleine a de nouveau été repérée près des côtes le 27 octobre lors d’un survol aérien et devrait faire l’objet d’une deuxième intervention.

Jusqu’alors, les chercheurs parlaient d’une population de quelque 400 baleines noires de l’Atlantique Nord, qu’on appelle aussi baleines franches de l’Atlantique Nord. Mais de nouvelles estimations rendues publiques au mois de novembre font état de seulement 356 individus encore en vie.

La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), l’équivalent de Pêches et Océans Canada aux États-Unis, qui avaient évalué qu’il restait 412 baleines noires de l’Atlantique Nord en janvier 2018, estiment maintenant qu’en janvier 2019, elles n’étaient plus que 366, soit une chute brutale de 11% en un an. Pire, cette population ne compterait plus que 94 femelles reproductrices.

En prenant en compte le décès avéré de 10 individus en 2019, les chercheurs évaluent donc la population actuelle à 356 individus seulement.

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La saison de la reproduction commence bien sombrement pour les baleines noires de l’Atlantique Nord. Le 20 novembre, la carcasse d’un très jeune baleineau a été retrouvée échouée sur une plage de la Caroline du Nord, aux États-Unis.

Une équipe scientifique a immédiatement été envoyée sur place. Les premières conclusions indiquent que le veau, un mâle, serait décédé au moment de sa naissance ou juste après, sans que la cause de la mort ait pu être identifiée clairement. Des prélèvements génétiques ont été réalisés afin de tenter d’identifier la mère du veau, qui n’a pas été aperçue dans les parages.

C’est un coup dur pour l’espèce, qui compterait seulement 356 individus encore en vie et une petite dizaine de naissances chaque année. Chaque veau est extrêmement précieux pour la sauvegarde de la baleine noire de l’Atlantique Nord.

Il s’agit, à l’heure actuelle, du seul veau observé depuis le début la saison de reproduction de l’hiver 2020-2021. La saison des naissances pour cette espèce n’est pas terminée. L’année dernière, déjà, le premier veau de la saison avait subi une collision mortelle quelques heures seulement après sa naissance. Espérons que d’autres naissances, plus joyeuses, suivront.

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Grands dossiers - 28/10/2020

Laure Marandet

Laure Marandet est rédactrice pour le GREMM depuis l'hiver 2020. Persuadée que la conservation des espèces passe par une meilleure connaissance du grand public, elle pratique avec passion la vulgarisation scientifique depuis plus de 15 ans. Ses armes: une double formation de biologiste et de journaliste, une insatiable curiosité, un amour d'enfant pour le monde animal, et la patience nécessaire pour ciseler des textes à la fois clairs et précis.

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