Gaspar / BBR
Rorqual à bosse
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Numéro d’identification
H626
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Sexe
Femelle
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Naissance
2005
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Connu depuis
2006
Ses traits distinctifs
Gaspar est reconnaissable grâce au patron de coloration derrière sa queue. Sur le lobe droit, on peut voir le profil du célèbre fantôme qui lui a en outre valu son nom.
Elle présente une nageoire dorsale très recourbée et pointue.
Son histoire
Cette femelle rorqual à bosse est connue sous le nom de « Boom Boom River (BBR) » en Gaspésie et aux Îles Mingan. Ce surnom fait référence à la municipalité de Rivière-au-Tonnerre, localement appelée « BBR ». C’est tout près de cet endroit que le MICS aurait effectué les premières observations de l’individu en 2005, soit son année de naissance.
Gaspar est la fille de la femelle Helmet (H166). Helmet est suivie par le MICS depuis 1990 et est connue comme une adepte des régions de Blanc-Sablon et de la Minganie. C’est dans ces régions que Gaspar a passé son premier été ; toutefois, l’année suivante, la jeune femelle a opté pour une visite de l’estuaire. Elle a ainsi brisé la règle voulant qu’un jeune rorqual à bosse retourne se nourrir à l’endroit où sa mère l’a amené. Gaspar a adopté le parc marin du Saguenay-Saint-Laurent et y a été observée tous les ans depuis 2006, à l’exception de 2008.
En 2017, l’équipe du MICS lui a posé une balise à ventouse alors qu’elle se trouvait en Gaspésie. Les données prises par la balise devraient nous informer les chercheurs sur son comportement de plongée et son état de santé.
En 2019, Gaspar est observé avec ce qui semble être son premier baleineau.
Historique des observations dans l’estuaire
Années pendant lesquelles l’animal n’a pas été observé Années pendant lesquelles l’animal a été observé
Dernières nouvelles issues des publications Portrait de baleines
Selon la région dans laquelle vous vous trouvez, cette femelle rorqual à bosse de 16 ans change d’« identité » ! Dans les secteurs de Mingan et de Gaspé, on l’appelle Boom Boom River (BBR), en référence à la municipalité de Rivière-au-Tonnerre où l’équipe de la Station de recherche des iles Mingan (MICS) l’observe pour la première fois, en 2005. Alors nouveau-née de l’année, elle accompagne sa mère Helmet, une habituée de Blanc-Sablon et de l’archipel de Mingan. L’année suivante, on s’attend à ce qu’elle retourne dans cette région, les jeunes rorquals à bosse ayant tendance à se nourrir sur les lieux visités précédemment avec leur mère. Mais elle nous surprend en visitant seule l’estuaire du Saint-Laurent, où on la voit presque tous les ans depuis. C’est là qu’elle acquiert le nom de Gaspar – référence à la silhouette de fantôme sur sa queue – à la suite d’un concours organisé par le GREMM.
Gaspar est-elle devenue une fidèle exclusive à cette région ? Pas forcément. Depuis 2008, René Roy, collaborateur du MICS, la croise chaque année dans les eaux gaspésiennes en début de saison. Grâce à ses déplacements dans le golfe et dans l’estuaire, Gaspar est étudiée à la fois par le MICS et le GREMM. Ainsi, en 2013, 2015 et 2017, on l’équipe d’une balise pour mieux documenter son comportement de plongée et son état de santé.
Certains rorquals à bosse peuvent être vus dans plusieurs secteurs du Saint-Laurent au cours d’une même saison. Leur mobilité varie généralement selon l’abondance, la densité et l’accessibilité de leurs proies. La fréquentation des membres de cette espèce dans le Saint-Laurent augmente depuis la fin des années 1990. Alors que seul le rorqual à bosse Siam était observé dans l’estuaire, ils sont de plus en plus nombreux à y séjourner comme le fait Gaspar. L’élargissement des aires de distribution des rorquals à bosse de l’Atlantique Nord s’explique en partie par leur rétablissement : plus la taille de leur population augmente, plus ils ont tendance à explorer de nouvelles aires d’alimentation.
En 2019, puis en 2021, Gaspar est observée avec un baleineau. Ses petits adopteront-ils les aires d’alimentation de leur mère, ou hériteront-ils de son caractère anticonformiste et iront-ils chercher de nouveaux territoires estivaux ?
Gaspar a été aperçue avec un premier baleineau en Gaspésie au début du mois de juillet, puis dans le parc marin du Saguenay-Saint-Laurent. Les rorquals à bosse femelles atteignent la maturité sexuelle autour de leur sixième année de vie. Pourquoi n’avait-on jamais documenté de baleineau avec elle, qui a près de 15 ans? Difficile à dire. Mener une gestation à terme demande d’avoir une alimentation suffisante pour subvenir à ses besoins énergétiques et à ceux de son petit. Les situations stressantes, comme un empêtrement, nuisent à la capacité de se reproduire. Peut-être n’avait-elle simplement pas trouvé de mâle. Maintenant que l’on sait Gaspar fertile, la verrons-nous à nouveau avec un baleineau dans deux ou trois ans?
Gaspar est de retour dans le parc marin ! On distingue ce rorqual à bosse connu depuis 2006 par son patron de coloration sous-caudale. Sur son lobe droit, on reconnait la forme d’un fantôme. C’est ce qui lui a donné son nom. Un autre trait distinctif est sa nageoire dorsale qui est très recourbée et pointue à l’extrémité. En Gaspésie et en Minganie, elle est surnommée BBR pour faire référence à Boom Boom River, le nom local de la municipalité de Rivière-au-Tonnerre, où elle a passé son premier été. L’équipe de la Station de recherche des iles Mingan (MICS) l’avait alors identifiée en compagnie de sa mère, Helmet (H166). Depuis 2006, Gaspar a visité l’estuaire du Saint-Laurent chaque année. Elle est maintenant âgée de 13 ans.
Les rorquals à bosse et les rorquals communs semblent être au rendez-vous cet été ! Quant aux rorquals bleus, les capitaines et les observateurs en mer nous rapportaient qu’ils ne restaient pas longtemps dans le parc marin. Cette semaine, par contre, plusieurs grandes bleues ont été observées, dont au moins une avec un baleineau, la célèbre Jaw-Breaker. Chaque saison est différente, bien sûr ! En période d’alimentation, la nourriture et la distribution des proies influencent la répartition des baleines. Au cours des mois de juin et juillet, beaucoup d’observations de capelans dans l’estuaire du Saint-Laurent ont été rapportées. Le capelan, comme le hareng, est une espèce fourragère, c’est-à-dire qu’elle ne se situe pas au dernier maillon de la chaine alimentaire. Elle sert donc de nourriture à d’autres espèces. Ces espèces s’alimentent notamment de krill, la nourriture de prédilection du grand rorqual bleu. Le rorqual bleu recherche d’immenses nuages de ces petits crustacés planctonique pour s’alimenter. La présence marquée de bancs de capelan cette saison aurait-elle pu contribuer à former de moins grandes agrégations de krill au milieu de l’été? Est-ce que cela aurait pu expliquer la visite expédiée des rorquals bleus dans le secteur ? Chose certaine, ces bancs de capelans ont fait le bonheur des rorquals à bosse, plus piscivore que planctonivore.
Par Audrey Tawel-Thibert
Vue au début du mois de juin en Gaspésie, où on lui a posé une balise à ventouse pour mieux comprendre son comportement de plongée et son état de santé, Gaspar (H626) est maintenant dans l’estuaire ! C’est le visage d’un fantôme souriant qui se profile dans les rainures du lobe supérieur droit de sa queue qui est à l’origine du nom de Gaspar. Sa nageoire dorsale contribue aussi à l’identifier facilement : elle est très courbée et se termine en pointe affutée.
Cette femelle rorqual à bosse est surnommée Boom Boom River (BBR) en Gaspésie et aux iles Mingan. Elle fut baptisée ainsi dans le golfe en référence à la municipalité de Rivière-au-Tonnerre, appelée localement BBR, près de laquelle les premières observations de H626 avaient été rapportées par la Station de recherche des iles Mingan (MICS), en 2005.
Les mégaptères sont bien appréciés du public ; leur popularité est principalement due aux comportements spectaculaires que l’on peut admirer chez cette espèce. Queue présentée gracieusement au moment de la plongée, coups frappés à la surface de l’eau avec des nageoires pectorales longues de quelques mètres, claquements de queue répétitifs, tête hors de l’eau (« spyhops »), sauts acrobatiques ; ce sont là des manœuvres impressionnantes qui font le bonheur des observateurs.
Les techniques d’alimentation sont tout aussi saisissantes : c’est le cas des filets de bulles que l’on peut remarquer en surface, produits grâce à l’évent ou à la gueule des cétacés (c’est une question encore débattue) et qui constituent un rideau de bulles à l’allure conique visant à rassembler et emprisonner les proies. Gaspar a justement été surprise à exploiter cette méthode récemment, et les croisiéristes ont même pu repérer des bulles à la surface de l’eau !
Une spécificité intéressante, propre aux rorquals à bosse de l’Alaska du Sud-Est, implique plusieurs individus qui s’attaquent à un banc de proies ; une seule baleine produit un cercle de bulles pour retenir les poissons (souvent des harengs) alors qu’une autre s’occupe d’émettre des vocalisations puissantes destinées à effrayer le butin qui va alors se resserrer. Gueules grandes ouvertes, les rorquals poussent alors la nourriture à la surface et engouffrent leur festin en se roulant.
Gaspar, connue sous le nom de Boom Boom River (BBR) en Gaspésie, est reconnaissable grâce au patron de coloration derrière sa queue. Sur son lobe droit, on y retrouve la forme du fantôme célèbre qui lui a valu son nom. Aussi, sa nageoire dorsale a une forme recourbée et pointue. Gaspar a été observée dans le parc marin le 29 juillet 2016. Née en 2005, elle a suivi sa mère, Helmet, une fidèle des territoires au large de Blanc-Sablon et de la Minganie. Elle a visité l’estuaire la première fois seule, dès l’année suivant sa naissance. Depuis, elle y est observée chaque année. Gaspar fait partie des jeunes rorquals à bosse explorateurs ayant adopté le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Elle a été photo-identifiée par la Station de recherche des îles Mingan (MICS) et fait partie de leur catalogue d’identification des rorquals à bosse.
Gaspar est un rorqual à bosse. Elle fait partie des espèces ciblées par les visiteurs. Pour les repérer, il faut observer au large, à partir des sites terrestres ou à bord des bateaux de croisières, à l’œil nu ou avec des jumelles. Lorsque de gros souffles puissants s’élèvent dans les airs, c’est signe que de grosses baleines sont dans la région. C’est d’ailleurs un bon signe pour les reconnaître! Rorqual commun? Rorqual bleu? Ou rorqual à bosse? Un grand souffle en forme de colonne, visible à plusieurs kilomètres de distance est celui d’un rorqual bleu (plus de 6 mètres de haut) ou d’un rorqual commun (4 à 6 mètres). Celui du rorqual à bosse est plus large, en forme de chou-fleur. Quant aux petits rorquals et aux bélugas, difficile de voir leur souffle, comme ils sont plus petits, mais ce n’est pas impossible! Par contre, les conditions météo peuvent facilement nous tromper!
Gaspar, connue sous le nom de Boom Boom River en Gaspésie, où elle a passé une bonne partie de l’été, a été vue dans le parc marin (secteur de la fosse à François) le mercredi 5 août vers 6 h du matin par l’équipe du GREMM – Pêches et Océans Canada. Depuis, elle a été observée chaque jour, parfois en compagnie d’un autre rorqual à bosse, Aramis.
Née dans les eaux chaudes des Caraïbes au cours de l’hiver 2004-2005, cette femelle rorqual à bosse a suivi sa mère Helmet pour sa première migration de printemps vers le Saint-Laurent. Helmet est fidèle aux régions de Blanc-Sablon et de la Minganie depuis 1990 (d’après les observations de la Station de recherche des îles Mingan (MICS). Dès l’année suivante, en 2006, Gaspar est venue explorer l’estuaire sans sa mère. Cet été-là, Gaspar était souvent vue en paire avec Pi-rat, un jeune mâle né la même année qu’elle. Ces associations entre rorquals à bosse sont généralement instables et de courtes durées. L’année suivante, Pi-rat et Gaspar étaient revus ensemble, mais bien moins souvent. Depuis cette première observation en 2006, Gaspar a visité l’estuaire chaque année. Elle a été baptisée ainsi par la forme de fantôme que l’on voit sur le haut de son lobe droit, dans la partie blanche. Une autre façon de la reconnaître est grâce à sa nageoire dorsale très recourbée et pointue.
Le 5 août à 6 h 25, une balise VHF a été installée sur le dos de Gaspar. Au cours de ce suivi, la balise a enregistré une période d’alimentation en profondeur (max 120 m), puis une période de plongées moins profondes, sans signe d’alimentation. Nous reconnaissons ces périodes en fonction de la «forme» des plongées enregistrées par la balise. Une plongée en «V» est le signe d’une plongée exploratoire et celle en «U», celui d’une période d’alimentation. Une période prolongée en surface révèle soit une période de repos ou de déplacement.
Née dans les eaux chaudes des Caraïbes en 2005 en hiver (hiver 2004- 2005), Gaspar a suivi sa mère Helmet pour sa première migration de printemps vers le Saint-Laurent. Helmet étant fidèle aux régions de Blanc-Sablon et de la Minganie depuis 1990 (d’après les observations du MICS), c’est là que Gaspar a passé son premier été. Dès l’année suivante, en 2006, elle est venue explorer l’estuaire sans sa mère, accompagnée du jeune rorqual à bosse Pi-rat pendant six semaines.
Si Gaspar passe du temps dans l’estuaire chaque été, elle se déplace aussi dans le Saint-Laurent. Le 17 mai, elle a été vue en Gaspésie par le MICS et par un membre du GREMM; le 3 juillet, première observation dans l’estuaire par le GREMM avec Tic Tac Toe et Irisept; mi-juillet, à Gaspé; depuis le 30 juillet, à nouveau dans l’estuaire.
Gaspar a neuf ans cette année. Ayant atteint sa maturité sexuelle à cinq ans, elle serait en âge de procréer. Peut-être la verra-t-on au cours des prochaines années avec un jeune à ses côtés? Les femelles rorquals à bosse donnent naissance à un seul baleineau, dans des intervalles variant d’un à cinq ans. La gestation dure 11 à 12 mois et l’allaitement 5 à 10. Les petits restent un an, voire deux avec leur mère.
Si nous pouvons raconter l’histoire de Gaspar, si nous connaissons son sexe et savons qui est sa mère, c’est grâce à la technique de biopsie (biopsie de Gaspar effectuée par le MICS en 2005). On prélève cet échantillon de peau avec une arbalète projetant une flèche sur le dos de l’animal. Le dard de la flèche se remplit de quelques grammes à peine de peau et de gras. Avec les cellules de la peau, un laboratoire effectue l’analyse de l’ADN de l’individu. Aux chercheurs ensuite de comparer les séquences génétiques de deux ou plusieurs individus pour établir leur éventuel lien de parenté. Dans le cas de Gaspar et de sa mère Helmet, les deux femelles ont subi une biopsie. Le fait de les voir ensemble à plusieurs reprises en 2005 a fourni le premier indicateur de leur filiation.
Gaspar fait partie de cette poignée de jeunes rorquals à bosse qui ont adopté le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Son premier séjour dans la région remonte à 2006, où elle (et oui, il s’agit d’une femelle…) était venue en compagnie d’un autre rorqual à bosse âgé d’un an, Pi-rat. Ces deux jeunots étaient devenus la coqueluche de l’industrie d’observation, et un concours avait été organisé par le GREMM, conjointement avec le MICS, pour leur trouver des noms appropriés.
L’expertise du MICS avait permis de cibler, dans le patron de coloration sous la queue, les marques qui avaient le plus de chances d’être permanentes, car, chez cette espèce, le patron de coloration se modifie au cours des premières années de vie. À partir de ces marques, les suggestions ont fusé, une liste de finalistes a été constituée, et les gens de l’industrie d’observation sont passés au vote. Gaspar doit son nom au célèbre gentil fantôme, qu’on aperçoit au bout du lobe droit.
Cette année, elle est arrivée dans le parc marin le 25 juin, et a souvent été vue en compagnie de Tic Tac Toe. Des collaborateurs du MICS l’ont photographiée en Gaspésie à la mi-juillet, où elle est surnommée « Boom Boom River ». Le 4 août elle était photographiée par le GREMM à son retour dans le parc marin. Toute une voyageuse!
Dernière heure : Gaspar a été équipée d’une balise le 7 août vers midi, dans le cadre du projet GREMM/Pêches et Océans Canada visant le suivi télémétrique des rorquals du parc marin.
La voici en photos :
Troisième jeune rorqual à bosse à faire son apparition dans le parc marin cet été, Gaspar avait été signalée en Gaspésie au mois de juillet. Elle n’a pas peur d’avaler les kilomètres pour visiter ses secteurs d’alimentation préférés! Sa mère, Helmet, connue du MICS depuis 1990, est plutôt une adepte des régions de Blanc-Sablon et Mingan. C’est là qu’en 2005 elle a amené Gaspar, lors de son premier été. Mais Gaspar, exploratrice, brise la règle qui veut qu’un jeune rorqual à bosse retourne se nourrir sur les lieux où sa mère l’a amené. C’est une fidèle de l’estuaire du Saint-Laurent, qu’elle visite tous les ans depuis 2006.
Les rorquals à bosse sont très appréciés des naturalistes et des capitaines de la région : acrobate et exubérante, cette espèce saute parfois hors de l’eau ou tape la surface avec sa queue ou ses longues nageoires pectorales. Ces nageoires sont d’ailleurs uniques dans le monde animal : elles mesurent le tiers de la longueur totale de la baleine et leur bord d’attaque est dentelé et couvert de petits tubercules. Cette caractéristique a fait l’objet d’une étude publiée récemment : les chercheurs américains ont déterminé que ce relief améliorait la manœuvrabilité et les performances du rorqual à bosse, et ils proposent même d’appliquer cette découverte aux ailes d´avion et aux pales d’éoliennes! À quand un Boeing aux ailes de rorqual à bosse?
Son nom est le résultat d’un concours organisé lors de son premier séjour dans le parc marin. Les gens de l’industrie d’observation de la région avaient retenu ce vocable en l’honneur du célèbre gentil fantôme, qu’on aperçoit au bout du lobe droit.