Bp903
Fin Whale
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ID number
Bp903
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Sex
Unknown
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Year of birth
Unknown
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Known Since
2007
Distinctive traits
Bp903 has two long pronounced scars on its left chevron which make it possible to recognize. Its dorsal fin lacks a notch, but it does have a well defined sickle shape. Its right chevron is also highly detailed.
Life history
This individual of undetermined sex was first photographed in 2007. It was seven years before it was observed again in the Marine Park. It has visited the St. Lawrence Estuary every year since 2015.
Observations history in the Estuary
Years in which the animal was not observed Years in which the animal was observed
Latest news from the publications Portrait de baleines
Like other whales, Bp903 is here to feed. And to do so, it needs its tongue! The latter is not particularly muscular but it is very elastic. When a whale opens its mouth, water gushes in with great pressure.
Pushed toward the bottom of the mouth, the tongue turns back on itself like the finger of a glove, forming a pocket that can hold water. The pressure also inflates the ventral grooves. The tongue might also also play a roll in expelling water. Once they return to their original position, the tongue and ventral grooves reduce the available volume in the mouth, as a result of which water is expelled from the mouth through the baleen.
Cette année, il a été photo-identifié pour la première fois au mois d’aout. Bp903 fait désormais partie de la nouvelle édition de 2018 du catalogue des grands rorquals dans le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Cette nouvelle édition comprend les données mises à jour en 2017.
Le rorqual commun passe souvent en deuxième lorsque vient le temps d’observer les baleines en mer. Il est perçu comme étant moins spectaculaire et moins démonstratif que le rorqual bleu ou le rorqual à bosse, comme il lève très rarement la queue lorsqu’il plonge. Parmi les autres rorquals, il détient aussi souvent le deuxième rang. Le rorqual commun est la deuxième baleine la plus grosse, après le rorqual bleu. C’est aussi le deuxième plus rapide, après le rorqual boréal. Lorsqu’il fait surface, le rorqual commun ne montre que le dos, ce qui rend le reste de son corps assez mystérieux quand on le regarde de l’extérieur de l’eau, à la surface. Sous l’eau, sa forme mince et allongée hydrodynamique lui donne l’air d’une torpille. Il est plus élancé que d’autres espèces. Sa tête fait de 20 à 25% de son corps, soit le quart de sa taille totale. Chez le rorqual bleu, la tête mesure de 22 à 27% de son corps, soit presque le tiers de sa taille totale. Comme chez la plupart des baleines à fanons, ses nageoires pectorales comportent 4 doigts non articulés groupés dans une seule nageoire de chaque côté. Seule l’articulation de l’épaule est mobile. Ses nageoires sont relativement petites et minces pour un rorqual et mesurent seulement 8 à 10% de sa taille totale, soit environ deux mètres. Chez le rorqual à bosse, les nageoires pectorales mesurent environ le tiers de sa longueur totale, soit environ cinq mètres. Cinq mètres, c’est la taille de la largeur de la nageoire caudale du rorqual commun! Chez le rorqual bleu, la nageoire caudale peut mesurer jusqu’à 7 mètres! Chez les baleines, la nageoire caudale est le prolongement de la colonne vertébrale, elle n’a donc pas d’autres os, contrairement aux nageoires. Les seuls vestiges des ancêtres terrestres des cétacés sont les deux petits os du bassin situés près des fentes génitales. Ces os sont flottants et détachés du reste du squelette et leur utilité est encore mystérieuse…